dimanche 31 mai 2015

La merveille by Marc

Il y avait longtemps que je n'avais pas publié un collector, une de ces diapos d'un autre âge qui dorment dans un placard !

En voici une deuxième de la Merveille, ce superbe 8a+ du Cuvier ouvert par Marc Le Ménestrel à la fin des années 90...

Marc Le Ménestrel, la Merveille, 8a+, Cuvier, Fontainebleau, 90's, (C) 2015 Greg Clouzeau



samedi 30 mai 2015

Débourrage en chêne

Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau


Le printemps c'est la saison de la renaissance et du coup de l'apparition des bourgeons puis de jolies petites feuilles d'un vert tendre qui contraste sur les restes des feuilles et autres fougères orangées mortes à l'automne. Petit à petit, chaque essence d'arbre se réveille. D'abord les bouleaux, puis les charmes et des châtaigniers. Progressivement les verts se font de plus en plus sombres et fin mai, seul le débourrement de quelques  chênes tardifs vient encore éclairer le feuillage de ses délicates premières pousses.
Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau


Le débourrement ou débourrage, est le moment de l'année où les bourgeons végétatifs et floraux des arbres se développent pour laisser apparaître leur bourre (terme désignant le duvet et les jeunes feuilles et fleurs enfouies dans les bourgeons de nombreux arbres) puis leurs feuilles et fleurs.


Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau

Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau

Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau

Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
Débourrement du chêne, Forêt de Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau

























jeudi 28 mai 2015

La danse des fougères Aigles


La Fougère-Aigle (Pteridium aquilinum) dite aussi Grande Fougère, Fougère commune, Fougère impériale, Porte-aigle, ou encore Aigle impérial... est une fougère de la famille des Dennstaedtiaceae. 

Elle est très commune, (voire envahissante) et surtout cosmopolite (mais avec des sous-espèces et des variétés diverses), c'est à dire qu'on la trouve partout (ou presque) à travers le monde.



« C'est une des rares espèces à pousser dans le mode entier : elle est dite cosmopolite. (...) Parfaitement semblables, ces fougères sont cependant adaptées à leur milieu, et non intervertibles. Un pied français transporté sous les tropiques ne parvient pas à s'y adapter, et meurt. Il en va de même pour un pied poussant sous l'équateur, qu'on transplante en Europe. (...). » Jean-Marie Pelt, L'évolution vue par un botaniste, Fayard, 2011, p.269.



On la retrouve des bords de mer à plus de 2 000 m d'altitude. Cette plante toxique a longtemps été utilisée à des fins alimentaires et médicinales et reste utilisée, notamment en horticulture.

Selon Francis Hallé, la fougère aigle est potentiellement immortelle. Un rhizome peut ainsi vivre près de 1 000 ans !

En effet, son rhizome noir, fibreux et ramifié, rampe à plusieurs dizaines de centimètres sous le sol, lui permetant de coloniser rapidement de grands espaces, et de former un clone à distance. Par cette méthode de reproduction asexuée, et profondément enterrée, la fougère aigle est épargnée par les incendies de forêt. La Fougère aigle se développe aussi bien en pleine lumière qu'en milieu semi-ombragées. Elle est aussi indifférente à l'humidité du sol.



À partir de ces rhizomes naissent à chaque printemps des frondes (feuilles) de très grande taille (90 cm) sur des "tiges" pouvant dépasser les 2 mètres (Rocher Canon par exemple) qui passeront du vert tendre au vert bouteille puis bruniront et durciront à l'automne avant de disparaître à l'hiver !

mercredi 27 mai 2015

J'en pince pour Tomahawk

Voilà un superbe bloc dans un tout nouveau secteur (en cours de défrichage) au Rocher de la Salamandre. Ce gros dévers en départ assis offre une magnifique pince main droite digne d'une des plus belles dotations de l'homme : le pouce opposable !

Le pouce est un doigt différent des autres ; non seulement par son positionnement différent, mais aussi par une phalange absente. Cette morphologie atypique serait due au fait que le pouce de l'embryon des mammifères est construit sous le contrôle d'un seul gène architecte (le Hox 13). A voir...

Le gourmands pourront s'offrir une version rallongée par une traversée haute pour sortir à gauche ce qui offre une autre pince pour une cotation en 7A/A+.

Kate s'offre donc la première féminine de Tomahawk, 7A.
Kate s'offre la première féminine de Tomahawk, 7A,
Kate s'offre la première féminine de Tomahawk, 7A,
Rer de la Salamandre, Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
 
Kate s'offre la première féminine de Tomahawk, 7A,
Kate s'offre la première féminine de Tomahawk, 7A,
Rer de la Salamandre, Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
 


mardi 26 mai 2015

Attention aux oiseaux !

Amis grimpeurs, pensez que vous n'êtes pas les seuls à aimer les trous de rocher !

A Bleau, comme dans tous sites rocheux, les anfractuosités sont le refuge de nombreuses espèces végétales et animales.

Si les falaisistes sont habitués aux limitations de pratique liées à la nidification des espèces protégées (faucons, grands ducs...), les bleausards prêtent moins attention aux nids situés dans les prises.

A cette époque de l'année, si la nidification n'a pas échoué, les nids sont actuellement occupés par des oisillons que les parents nourrissent par d'incessant vas et viens. Toute approche du nid, perturbe grandement ces repas et mettent en péril la survie des oiseaux.

Merci de ne pas grimper ces blocs !

dimanche 24 mai 2015

Sceau de Salomon

On appelle « Sceau de Salomon » diverses plantes monocotylédones. Il s'agit de plantes présentant une cicatrice laissée sur le rhizome par une tige aérienne fanée et qui d'après certains ressemble au sceau de Salomon (fait de deux triangles entrelacés, dit hexagramme étoilé ou triangle de Salomon).



Sceau de Salomon multiflore (Polygonatum multiflorum) dans les Trois Pignons
Sceau de Salomon multiflore (Polygonatum multiflorum) dans les Trois Pignons
Les rhizomes et les fruits furent utilisés autrefois comme vomitifs. Il est donc plus sage de considérer cette plante comme potentiellement toxiques.
Le Sceau de Salomon multiflore (Polygonatum multiflorum) est une plante herbacée vivace, rhizomateuse, de la famille des Asparagacées. Certains la classent parmi les Liliacées. On trouve aussi le le Sceau de Salomon odorant (Polygonatum odoratum ou Polygonatum officinale), le Sceau de Salomon verticillé (Polygonatum verticillatum), une espèce qui pousse dans tous les massifs montagneux français, préférentiellement dans les bois, les rocailles, et parfois les prairies de 500 à 2 400 m d'altitude.

vendredi 22 mai 2015

Aéro statique

En escalade, il y a souvent une méthode "statique", c'est à dire faite de blocages, équilibres et puissance, et une autre, dite "dynamique", où la poussée de jambe sera essentielle à la prise d'élan.
Pour cette ouverture, on a tout essayé, y compris la combinaison des deux : l'aéro-statique !

J'en profite pour souhaiter un bon rétablissement à Ivan. Courage vieux !

Ivan s'attaque à la version statique de cette dalle de la Salamandre, (C) 2015 Greg Clouzeau
Ivan s'attaque à la version statique de cette dalle de la Salamandre, (C) 2015 Greg Clouzeau
avant de s'élancer dans la version dynamique ! (C) 2015 Greg Clouzeau
avant de s'élancer dans la version dynamique ! (C) 2015 Greg Clouzeau

Avec succès ! Bravo, Ivan. (C) 2015 Greg Clouzeau
Avec succès ! Bravo, Ivan. (C) 2015 Greg Clouzeau

jeudi 21 mai 2015

ça mousse à Bleau !


Mousse sur grès, Fontainebleau, Gclouzeau
La forêt de Fontainebleau demeure un pur bonheur pour les amoureux de la nature pour de nombreuses raisons et notamment pour sa flore composée d'environ 1350 plantes à fleurs, 3000 champignons, 450 mousses, 500 lichens et autant d’algues !


Vous pensez donc que les photographes ont de quoi cliquer !


Je m'en donne à cœur joie... mais ne comptez pas trop sur une identification des mousses et lichens vu la complexité de la famille des Bryophytes et les évolution subits par la classification !

Le richesse faunistique et floristique de Fontainebleau est étroitement liée à la diversité des sols (acides, calcaires, etc..), des milieux (landes, platières, mares etc..) et des reliefs, des influences climatiques, des mesures de protection et des interventions humaines ces 4 derniers siècles.




Scrutée depuis le XVIIe, la flore de Fontainebleau abriterait donc plus de 5 000 espèces dont "seulement" 1 424 "plantes supérieures" (les Phanérogames). Parmi elles, 186 essences d'arbres (dont 109 plantées), une centaines d'arbuste (dont 79 "spontanés").

Le reste, la très grande majorité, la silencieuse, la minuscule, celle qui abrite les fées, lutins, génies et autres Korrigans légendaires, celle que l'on ne remarque pas et que le visiteurs saccagera peut être sans le savoir, se compose donc des Cryptogames, les plantes comme les champignons, algues, fougères, mousses et lichens !

Parmi les plantes actuelles, les bryophytes terrestres et les bryophytes aquatiques sont celles qui ont conservé le plus de caractères des premières plantes ayant colonisé la terre ferme.



Pris au sens large, c'est-à-dire celui des classifications traditionnelles, le terme bryophyte s'applique aux trois embranchements de plantes terrestres qui ne possèdent pas de vrai système vasculaire. Au sens strict, l'embranchement actuel des Bryophyta ne concerne que les mousses et les sphaignes au sens botanique strict (à l'exception donc des Hepaticophyta et des Anthocerotophyta).



Les Bryophythes :


- Hepaticophyta (hépatiques), l'embranchement le plus primitifs représente 6000 espèces environs dans le monde dont :


                                  - Marchantiopsida les hépatiques à thalle complexe

                                  - Jungermanniopsida les hépatiques à thalle simple ou à feuille (+/- 4000 espèces)

- Anthocerotophyta (anthocérotes) est un petit embranchement voisin des hépatiques (une centaine d'espèces)
- Bryophyta (mousses) représente près de 10 000 espèces réparties en 3 classes


                                  - Sphagnopsida (sphaignes)

                                  - Andreaeopsida (andréales)

                                  - Bryopsida (vraies mousses)



Les bryophytes, et les mousses en particulier tirent l'essentiel de leur nourriture de l'air et des nutriments apportés par l'eau, par la pluie ou les dépôts de particules et aérosols. De nombreux bryophytes sont vulnérables à l'acidification de l'air, à sa pollution et à l'eutrophisation des milieux.




Ils jouent à ce titre un rôle important dans l'épuration de l'air, mais aussi en matière d'accumulation de certains polluants (métaux lourds et radionucléides notamment). Ce sont aussi des organismes pionniers important dans les processus de résilience écologique. Ils sont moins sensibles à la continuité temporelle de l'état forestier que les lichens.




Voir sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Bryophyte

mardi 19 mai 2015

lundi 18 mai 2015

La loche noire à Fontainebleau

On a tous rencontré un jour, une de ces grosses limaces plus ou moins orange dont la taille peut avoisiner les 15 cm. Ce week-end, j'en ai croisé une noire en forêt de Fontainebleau !

Le terme Loche est un nom vernaculaire donné à certaines espèces de limaces de grande taille, et qui ont la capacité de se contracter en demi-sphère lorsqu’elles se sentent menacées. On trouve donc sous cette appellation 2 familles  : les Arionidae et les limacidae.

Comme elles sont de couleur très variable, elles sont décrites sous plusieurs espèces Arion ater pour la forme noire, et Arion rufus pour la forme rouge brique. Toutes les variantes intermédiaires entre ces 2 teintes existent.  La peau a un aspect bosselé, l’orifice respiratoire est de grande taille, bien visible au bord inférieur droit. La sole pédieuse qui lui sert à ramper est plus claire que le reste du corps.

Son régime alimentaire est assez éclectique, elle se nourrit surtout de végétaux, mais aussi de cadavres d'animaux dont ses congénères.

Loche noire, Arion ater ater, Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau
Loche noire, Arion ater ater, Fontainebleau, (C) 2015 Greg Clouzeau


vendredi 15 mai 2015

Grimpe à Bleau, poster couleur

Toujours et encore dans la série des futurs (?) posters, mais en couleur cette fois.
Que pensez-vous de celui-ci ?
Il vous inspire ?
Si c'est le cas, n'hésitez pas à me contacter pour un devis

mercredi 13 mai 2015

Des orchidées sauvages en forêt de Fontainebleau !

Orchis pourpre (Orchis purpurea)
Trouver une orchidée sauvage en forêt de Fontainebleau n'est pas impossible mais on peut facilement passer la journée à les rechercher si on connait pas un peu leurs biotopes ! En effet, les biotopes propices à leur épanouisement ne sont pas légions dans le massif forestier. Fuyez les pinèdes, les endroits sableux, les mares acides qui ne sont pas des lieux favorables.
La connaissance du terrain et du mode de pousse permet de chasser les orchis et les trouver est toujours un petit moment d'émotion. Je suis assez nul en botanique mais je suis un curieux de nature ou par nature et je peux vous dire qu'il existe plus d'une trentaine d'espèces à observer dans le Pays de Fontainebleau.

Commençons avec une remarque évidente mais nécessaire : les orchidées sont des fleurs fragiles et relativement rares. Il convient de ne pas les cueillir. Avec un appareil photo numérique ou même un smartphone, vous pourrez emmener avec vous un souvenir de votre orchidée sauvage.
L'orchidée est une fleurs que l'on trouve dans certains milieux à travers le monde.  Le nom Orchidée vient du grec orchis, qui signifie "testicules", en référence à la forme des tubercules souterrains de certaines orchidées.  Une trentaine d'espèces poussent en forêt de Fontainebleau. Elles ne sont pas toutes aussi exubérantes que celles des tropiques ou des serres. Nos orchidées sauvages ont des fleurs plus petites mais pas forcément moins jolies.
Aujourd'hui, leurs biotopes sont souvent menacés en Ile de France et dans le Pays de Fontainebleau du fait de l'urbanisation, des changements industriels et agricoles, de la sylviculture et de l'enrésinement de la forêt de Fontainebleau ou du tourisme. J'y reviendrai régulièrement sur le blog…

Comment reconnaître une orchidée dans la nature ?


Quatre détails de la plante pour permettront de déterminer si vous avez à faire à une orchidée ou pas :

  1. Les feuilles sont sans dents, sans découpes et plutôt rectiligne.
  2. Les nervures des feuilles d'orchidée sont parallèles aux bords de la feuille.
  3. Au sol les feuilles de certaines orchidées sont opposées, pour d'autres elles sont réparties sur la tige.
  4. Enfin à la base de chaque fleur une grosseur est visible. Elle contiendra la future graine après fécondation. 
  5. Mais attention, au-delà des très belles et exubérantes orchidées, certaines (la Néottie par exemple) peuvent facilement être confondues avec d'autres plantes 



On trouvait dans l'encyclopédie en ligne sur Fontainebleau, un très bon pdf animé présentant 35 espèces mais il n'est plus disponible. J'ai donc refait un petit guide d'identification des principales espèces d'Orchis et Ophrys (c'est gratuit !). Pour les passionnés, mon ami photographe Djamal vous en propose aussi plusieurs articles sur son site et un ebook sur les orchidées. Enfin, pour celles et ceux que cela intéressent voici une quinzaine de pages (pdf) pour apprendre tout ce qu'il y a à connaître à leur sujet.
Voici quelques espèces que j'ai pu photographier dans le Pays de Fontainebleau et qui sont facile à identifier :

ORCHIS




Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)





Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)

Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)


Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)

Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)

Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)

Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)

Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)




Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis)






Orchis mâle (Orchis mascula)







Orchis mâle (Orchis mascula), Fontainebleau, 77
Orchis mâle (Orchis mascula), Fontainebleau, 77


Orchis mâle (Orchis mascula), Fontainebleau, 77

Orchis mâle (Orchis mascula), Fontainebleau, 77
Orchis mâle (Orchis mascula), Fontainebleau, 77
Orchis mâle (Orchis mascula), Fontainebleau, 77
Orchis mâle (Orchis mascula), Fontainebleau, 77




Orchis pourpre (Orchis purpurea)





Orchis pourpre (Orchis purpurea), Fontainebleau
Orchis pourpre (Orchis purpurea), Fontainebleau
Orchis pourpre (Orchis purpurea), Fontainebleau

Orchis Militaire (O. Militaris)










Orchis Bouc (Himantoglossum hircinum)

Orchis Bouc (Himantoglossum hircinum)
Orchis Bouc (Himantoglossum hircinum)





L'Homme pendu (Orchis anthropophora)



L'Homme pendu (Orchis anthropophora)
L'Homme pendu (Orchis anthropophora)





Enfin, les Ophrys dont les fleurs imitent à la perfection différentes espèces animales sont aussi présentent dans le Pays de Fontainebleau.

OPHRYS



C'est le cas par exemple de Ophrys Mouche (Ophrys insectifera)

Ophrys Mouche (Ophrys insectifera)
Ophrys Mouche (Ophrys insectifera)




Ophrys Mouche (Ophrys insectifera)

Ophrys Mouche (Ophrys insectifera)

Ophrys Mouche (Ophrys insectifera)







Ophrys Bourdon (Ophrys fuciflora)

























Ophrys Abeille (O. Apifera)







Platanthère à fleurs vertes ou orchis verdâtre  (Plantathera Chlorantha)



La platanthera chlorantha parfois appelée orchis des montagnes ou orchis verdâtre ou platanthère à fleurs verdâtres est une orchidée sauvage terrestre européenne qui est relativement rare et très localisée. Elle se rencontre le plus souvent en pleine lumière, sur substrats acides ou humides et dans des dépressions marécageuses en montagne. A ne pas confondre avec la plantathera bifolia dont les loges polliniques sont parallèles et non divergentes










Listère ovale (Listera ovata)






Listère ovale (Listera ovata)
Listère ovale (Listera ovata)

Listère ovale (Listera ovata)

Listère ovale (Listera ovata)

Listère ovale (Listera ovata)


Listère ovale (Listera ovata)
Listère ovale (Listera ovata)


Céphalanthère pâle ou blanche dite aussi à grandes fleurs ou Helléborine blanche (Cephalantera damasonium)



La Céphalanthère pâle atteint de 20 à 60 cm. On le trouve en milieux calcaires, surtout en chênaies pubescentes et en hêtraies. Elle est plutôt commune et sa floraison va de mi mai à mi juin. Comme elle est moins extravagante que les autres orchidées, on n'y prête sans doute moins d'attention



Céphalanthère (Cephalantera damasonium)
Céphalanthère (Cephalantera damasonium)