La voie dite de l'Olive direct était toute neuve...
Pas de variante à gauche ou à droite... et bien peu de magnésie !
Christophe était parré par Thierry Guéguen et Didier Gérardin.
Il suffit de retourner aujourd'hui au Rocher des Demoiselles (nom bien plus sympathique que le Rocher aux putains connu de la cour qui fréquentait le chateau de Fontainebleau ) pour se convaincre que l'escalade participe aussi à la dégradation du milieu et que nous devons, nous grimpeurs, garder cela à l'esprit pour minimiser l'impact de nos visites.
Christophe Perruchon dans la directe de l'Olive, 7A, Rocher des Demoiselles, Fontainebleau, (C) Greg Clouzeau |
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Bonjour,
Merci de l'intérêt que vous avez porté à cette publication. Votre commentaire sera adressé à Greg Clouzeau pour vérification avant sa mise en ligne.